Financement

Le plan Loire a permis d'initier le projet en 2012 grâce au financement d'une action sur les surplus azotés dans le projet Eutrophisation Trend (porté par Florentina Moatar).

L'office française de la biodiversité a, par la suite, financé deux actions :

  • la première en 2015 (financement de la thèse de Cécile Poisvert) qui a permis la désagrégation des surplus azotés départementaux à l'échelle de la commune sur la période 1955 - 2015.
  • la seconde en 2022 (embauche de Clément Dupré) pour la mise à jour des surplus azotés sur la période 2015 - 2020 et le développement d'une nouvelle méthode de calcul permettant de s'affranchir des données sous secret statistique.